Le stress de la rentrée … Le stress de la nouveauté ?

Le mois de septembre se termine … Et avec lui l’effervescence de la rentrée. Il y a quelques semaines justement nous vous demandions sur Instagram ce que représentait pour vous la rentrée …

Globalement pour 30% d’entre vous c’est l’occasion de se lancer des défis, de découvrir de nouvelles personnes ou activités. Bref c’est une période stimulante et vous l’abordez avec impatience et détermination ! Pour 20% c’est une période lambda : septembre ou mai c’est du pareil au même, les promos sur les agendas en moins.

Mais pour la moitié d’entre vous c’est surtout synonyme de stress ! Alors on a essayé de comprendre pourquoi cette rentrée nous angoisse et surtout comment on peut la regarder avec un œil neuf histoire que ce soit moins désagréable …

Voilà donc les points principaux qui ont été soulevés : parce que pour comprendre nos émotions il faut savoir ce qui les déclenche et mettre des mots dessus … et surtout notre réponse pour essayer de rationaliser tout ça !

1. L’école vétérinaire

L’entrée à l’école

J’ai peur de ne pas être à ma place, de ne pas être à la hauteur, de me confronter à des étudiants avec un parcours différent du mien et des connaissances différentes. Et si je n’étais pas fait(e) pour ça ? Si j’échouais dans ces études ?

Alors déjà félicitations pour le concours et/ou l’entrée à l’école !

Si tu as été sélectionné(e) c’est qu’il y a bien une raison 😉 ça veut dire que tu es quelqu’un de bosseur, de motivé, avec une tête bien faite et une envie de bien faire ! C’est normal de stresser face à quelque chose qu’on ne connaît pas mais il faut que ce soit un stress positif, de la motivation à découvrir petit à petit ce métier 🤩 Surtout, il faut se rappeler que l’école vétérinaire ce n’est pas juste devenir praticien en clinique ! L’école … ce sont des années où on découvre tout ce que ce diplôme représente et peut offrir comme possibilités ! Ce sont des années où on crée des liens pour la vie (cœur cœur Pauline), on se découvre, on se forge comme véto mais aussi comme personne. On fait du sport, on fait la fête, on apprend, on voyage, on fait des stages. C’est tellement riche, et maintenant reste à te convaincre que TU LE MÉRITES.

L’école c’est aussi un endroit où on stresse, où on passe des examens, où on peut avoir des peines de cœur bref où on vit. Ça peut être un endroit où l’on se sent mal, pas écouté, pas à sa place parfois. Et dans ce cas là c’est important d’en parler. L’école ce n’est pas tout beau tout rose tout le temps pour tout le monde et c’est OK. Certaines associations se montent un peu partout pour parler du bien être étudiant et c’est super important. Alors si tu te sens stressé(e) à l’école n’hésites pas à en parler, on répond (assez vite) aux messages privés, mais aussi à te rapprocher de groupes ou associations (@synevet à l’ENVT, programme de développement personnel et de bien-être étudiant via l’IVSA à Oniris notamment).

Le passage aux cliniques de l’école

J’ai peur de la pratique. J’ai peur de ne plus être “apprenant” assis en amphi mais “praticien” en consultation et en clinique. Je ne me sens pas prêt(e).

L’entrée en clinique c’est toujours stressant c’est normal : c’est le passage de la théorie à la pratique ! Mais justement il faut que ce soit un stress « positif » et motivant, l’excitation de passer à l’étape supérieure qui te rapproche du métier que tu veux faire 🙏 c’est normal de stresser mais il faut surtout se rappeler tout ce que tu vas découvrir, apprendre et mettre en pratique ! C’est l’occasion d’appliquer la théorie que tu engranges depuis plusieurs années. Et surtout sache que tu ne seras jamais seule face à l’inconnu 💪 : les professeurs, les CC / AH / internes / ASV ou infirmières et j’en oublie sont autant de partenaires et de soutiens dans cette étape !

Les professeurs et les évaluations

Justement les profs qui m’encadrent dans cette nouvelle étape : j’ai peur qu’ils me jugent, qu’ils me critiquent. J’ai peur qu’ils me trouvent nul(le), ou qu’on se moque de moi.

Ce point là nous fait super mal … parce qu’on réalise qu’on a beau faire des jolis discours, quand on y pense nous même avons toujours cette sensation inconsciente d’avoir des choses à prouver aux profs, aux AH, au personnel de l’école alors que nous sommes sorties depuis plusieurs années maintenant … D’autant plus que leur rôle est d’accompagner et aider !

On a très peur du jugement de manière générale, à cause de la société et du système scolaire qui passent leur temps à nous évaluer. Le jugement des profs sur toi n’a pas lieu d’être. Qu’ils évaluent ton travail pour te faire progresser c’est une chose (et j’insiste on évalue ton travail à l’instant T : on n’évalue pas la personne que tu es, ta valeur, et ça ne définit pas comment tu vas travailler toute ta vie, c’est un tremplin vers du mieux) mais si des profs émettent des jugements gratuits, ou sont désagréables voire maltraitants : regarde-les et souviens-toi de ne jamais être comme eux. Parce qu’on a eu des profs supers dont on garde d’excellents souvenirs mais aussi des profs pouvant émettre des commentaires blessants voire humiliants. Alors même si c’est tourné sur le ton de la plaisanterie par les générations de jeunes vétos “ha tiens il a encore fait telles remarques, il les fait tous les ans … ha tiens il a dit ça à tel groupe : sacrée punchline !”) il n’en reste pas moins que sur le coup ça peut faire mal.

Certaines personnes sont de très bons cliniciens, ou des puits de science : utilise-les pour enrichir tes connaissances ; mais des personnes humainement pas très intéressantes : utilise-les comme contre-exemple de relations humaines. Ça ne va pas plus loin. Tu as besoin de leurs connaissances pour devenir véto. Mais tu as besoin de gens bienveillants et de soutien pour tout le reste 😉

Exemple réel d’un souvenir de première année d’un professeur lors d’un TD parce que personne n’arrivait à répondre à sa question (nous lui avions déjà répété mot pour mot la définition qu’il avait lui même donnée dans son cours, mais visiblement il attendait autre chose et nous ne comprenions pas la question), face à un prof qui s’agaçait et des élèves de moins en moins inspirés, j’avais tenté de répondre à sa question avec des explications plutôt qu’une définition :

” Vous espérez vraiment être vétérinaire, vous êtes la honte de la profession, les gens ne vous ferons jamais confiance, vous n’arriverez jamais à rien “

Suivi d’un silence de 10 bonnes minutes puis d’un ” prenez une feuille, interro “

J’avais eu du mal à retenir mes larmes face à si peu de pédagogie. Je ne sais toujours pas ce que j’aurai du répondre ce jour-là à sa question, mais j’ai appris que mon groupe de TD était hyper soudé, mes co-promos m’ont soutenue et consolée. J’ai appris que les étudiants des promos précédentes avaient eux mêmes fait les frais de ces méthodes d’enseignement, certains avaient même écrit une lettre au responsable du module pour faire remonter les difficultés rencontrées (avant de se rendre compte que le responsable, c’était lui …), bref la conclusion était unanime : ce n’était pas moi le problème.

2. Dans la vie active

L’entrée dans le grand bain

J’ai peur de me retrouver en consultation pour de vrai ! Je n’ai pas de filet de sécurité ou de professeurs / internes / autres étudiants pour m’appuyer, je me retrouve seul(e) face à des clients et des animaux, je me rends compte de tout ce que je ne sais pas faire et c’est la panique.

Bravo pour ton diplôme !! 👏 le saut dans le grand bain c’est un moment hyper stressant c’est normal. Déjà : tu sais et tu sais faire beaucoup plus de choses que tu penses 😉 et ensuite c’est complètement normal au départ de vérifier 40 fois ou de demander leur avis à des amis ou à des collègues !

On fait semblant d’aller chercher un médicament et hop on en profite pour vérifier la théorie sur une maladie ou une posologie. On emmène l’animal pour un examen complémentaire et hop on en profite pour debriefer avec un ou une collègue sur place ou par téléphone … c’est comme ça que ça fonctionne au début c’est normal.

Le “début” et les moments d’incertitude et de doutes peuvent durer de 6 mois à 1 an et demi selon les personnes et selon les endroits où l’on travaille donc pas de panique si on ne se sent pas comme un poisson dans l’eau en 3 semaines : c’est juste normal !

Le changement de poste

Je dois annoncer à mon ancienne clinique que je pars et ça me stresse … L’annonce au patron pour moi ça reste vraiment LE truc difficile … Parce qu’on est formaté à vouloir faire plaisir et qu’on a peur de décevoir, de laisser une équipe dans le caca, avoir à se justifier de “pourquoi” on part etc etc. En ce qui me concerne, on rajoute une crainte du conflit voire une anticipation des dernières semaines difficiles une fois le départ annoncé et c’est vraiment le combo gagnant.

Il faut retenir que ce sont des contrats qu’on signent, c’est professionnel, on n’est pas marié(e) avec le patron donc pas de « je le déçois, je le laisse tomber » etc car pas d’affect là dedans ! Tu as beau bien t’entendre avec tes collègues, il se peut que la clinique par son fonctionnement, ses horaires, son activité, ne soit pas un match pour toi. Ça arrive. Ensuite pour le préavis si ça se passe bien tant mieux , si ça se passe moins bien : déjà ce n’est que temporaire tu peux te mettre un décompte et surtout ça confirmera que tu fais bien de partir !

L’incertitude du nouveau poste

Je ne sais pas trop encore où je vais aller, est ce que je vais être pris(e), je n’ai pas eu toutes les réponses … Je dois encore passer certains entretiens, cette attente me tue !

Le fameux stress de l’incertitude … le fait de ne pas savoir c’est une inconnue au tableau et c’est source d’angoisse chez beaucoup d’entre nous. Alors on prend un pas en arrière : au final où que tu sois, ça demandera peut être une organisation différente, mais ça se fera. Et si tu n’as pas la réponse attendue c’est que ce n’était pas le bon poste pour toi et qu’une autre opportunité arrivera à un autre moment 💪 Pour l’instant il faut surtout respirer et essayer de faire autre chose pour s’occuper, rien ne sert de stresser pour une chose qui n’est pas encore arrivée et surtout sur laquelle tu n’as pas d’emprise ! (plus facile à dire qu’à faire on est bien d’accord)

L’arrivée dans un endroit inconnu

Je commence la semaine prochaine et je vais débarquer dans une clinique où je n’ai jamais travaillé. Je ne connais pas les habitudes, les protocoles, l’équipe … Comment je vais faire ??

Prendre ses marques c’est stressant au départ mais au final c’est quand même très rapide et en quelques jours déjà tu te sentiras très à l’aise. De mes expériences, en un mois j’avais la sensation d’avoir “toujours bossé là”. Si tu as la possibilité d’aller quelques jours ou semaines avant le début de ton contrat pour rencontrer l’équipe, repérer les lieux, te familiariser avec le logiciel et le matériel, c’est un gros plus, mais ça peut aussi se faire sur tes premiers jours de contrat.

Lorsque tu démarres tu peux profiter des temps calmes pour fouiller dans les tiroirs et te faire des petites fiches sur les protocoles / les tâches à accomplir, les astuces de fonctionnement du logiciel ou les particularités de la clinique. Surtout n’hésites pas à t’appuyer sur tes collègues dans les premiers temps (on ne parle pas de poser 50 fois la même question ou de demander à ce qu’on te fasse tout sous prétexte que tu ne connais pas, on est bien d’accord mais d’expérience il vaut mieux déranger 15 secondes ton collègue ASV pour lui demander comment créer une facture sur le logiciel plutôt que de passer la journée à le faire de travers et devoir tout reprendre le soir !)

L’erreur médicale

Oui mais si je fais une faute ? Si je fais un mauvais diagnostic, ou que je me trompe dans un traitement ? Pire si un animal souffre parce que j’ai oublié quelque chose, ou que je n’ai pas su faire ? Je ne me sens pas capable d’encaisser et ça me fait peur.

Là dessus malheureusement pas trop de moyen de rationaliser, c’est NOTRE angoisse dans toutes les professions de soin malheureusement … c’est pas très réjouissant mais ça arrivera forcément. Je te mets au défi de trouver un(e) véto qui n’a jamais merdé, pataugé, galéré avec un cas … On espère pouvoir vous parler un peu plus profondément de ce point là avec Leïla Assaghir très prochainement.

La confrontation avec les clients

Je veux absolument plaire aux propriétaires d’animaux, qu’ils soient contents de la prise en charge. Je me sens blessé(e) lorsque quelqu’un ne veut pas passer avec moi et la période d’adaptation voire les clients réfractaires à mon arrivée m’angoissent.

Alors pour les clients tout pareil qu’avec le patron : pas d’affect. Au début je le prenais très personnellement qu’on ne veuille pas passer avec moi, ça me faisait me sentir nulle. En fait les gens s’attachent aux humains, pas uniquement aux compétences. Ils ne veulent pas passer avec moi parce qu’ils connaissent ma collègue depuis 25 ans ? Je comprends aucun soucis. Ils ne veulent pas passer avec moi parce qu’ils n’aiment pas ma tête ? TANT MIEUX je ne veux pas les voir non plus 😅 rien à leur prouver, une pression en moins 🤷🏻‍♀️ et petit à petit s’ils veulent passer avec moi tant mieux, si ça n’arrive jamais tant mieux aussi 😎

Le fait de vouloir plaire absolument aux proprios : pourquoi ? Tu n’as rien à leur prouver, tu ne cherches pas à les épouser (enfin peut être mais là c’est un autre débat 😅) tu n’as pas à leur plaire pour bien faire ton travail … certains ne t’aimeront pas, sans que tu y sois pour quelque chose et même si tu es le/la plus aimable, agréable et compétent(e) possible, c’est comme ça même si c’est dur et injuste à accepter pour nous.

Le fait qu’ils soient contents de la prise en charge : une fois encore tu leur accordes un droit de jugement sur toi et ton travail que je nuancerai. Bien sûr que tu vas faire le meilleur travail possible pour leur animal. Mais ont-ils les connaissances nécessaires pour juger de ce qu’il faut mettre en place et à quel moment ? Pas forcément … C’est là que le consentement éclairé prend tout son sens. Ton travail est de les informer de ce que tu peux faire et pourquoi. Parce qu’ils ne connaissent pas la pathologie et la médecine et sont uniquement dans l’émotion et l’affect pour leur animal. Certains ne seront pas satisfaits de ta prise en charge alors que tu auras fait tout exactement comme il le fallait et que tu n’auras rien à te reprocher, simplement parce qu’ils n’acceptent pas l’issue (maladie, décès, traitements …). Une fois encore la pilule peut être dure à avaler mais c’est comme ça : nous avons une obligation de moyen, pas de résultats…

3. À toutes les étapes

Commencer une activité différente

• J’ai un nouveau poste et je vais devoir me mettre à faire de la repro / des NAC / de la mixte / … Mais je ne sais pas faire !

• Je rentre à l’école, à la clinique de l’école, en internat, en internat privé … Je change mes habitudes et j’ai peur de ne pas savoir ou de ne pas savoir quoi faire ?

Apprendre quelque chose de nouveau c’est stressant parce qu’on a l’impression de repartir à zéro mais en même temps on peut le regarder comme une manière d’avoir pleins de nouveaux trucs trop cools à apprendre et à découvrir (et on apprend toute notre vie dans ce métier !) je trouve ça hyper stimulant, et motivant 👏  C’est une bonne manière d’être pro-actif et ne pas rester assis sur ses lauriers et ses connaissances acquises. C’est important de s’encadrer (de collègues, de formateurs, …) pour progresser.

Mais pour pouvoir visualiser mon “incompétence” actuelle comme le terreau de mes nouvelles capacités il faut d’abord accepter que : c’est ok de pas savoir. Tu es en apprentissage constant parce que personne ne sait tout sur tout et c’est inconfortable de ne pas savoir et d’en avoir conscience. Ça peut faire peur de se rendre compte de tout ce qu’on ne sait pas faire, mais il faut le voir comme des marges de progression. Et se retourner de temps en temps pour se rendre compte du chemin parcouru : « je ne sais pas faire telle chirurgie ? Il y a 6 mois je ne savais même pas la théorie là dessus ! » « je ne sais pas traiter telle maladie ? Il y a 1 an je ne savais même pas qu’elle existait ! »

Ça va venir petit à petit et c’est normal : tout le monde est dans le même bateau au démarrage (même ceux qui font semblant que tout va bien).

Le stress me stresse

J’ai une boule au ventre, j’ai l’impression de ne pas avoir identifié de facteurs de stress, je suis juste stressé(e) tout le temps. Plus je pense à ce stress plus j’angoisse !

Ce stress que tu as, est ce que c’est omniprésent, est ce que ça t’empêche de manger, de dormir, est ce que tu as des idées noires ? Si c’est le cas, il faut prendre 5 minutes pour se poser, souffler et faire le point ; qu’est ce qui dans ta pratique quotidienne te stresse autant concrètement, il faut mettre le doigt sur les éléments clés même si cette introspection n’est pas très agréable. Si tu arrives à sortir des éléments clés qui sont dans la liste, tu peux te référer aux points précédents de l’article pour t’aider à rationaliser. Si c’est quelque chose de trop difficile pour toi, ou s’il y a aussi des éléments de ta vie privée qui t’empêchent d’envisager sereinement ta pratique professionnelle, il se peut que tu aies besoin d’une pause. On vous rappelle que si nécessaire faire appel à un spécialiste (psy, groupe de soutien etc etc) n’est ni honteux ni un échec, au contraire.

Conclusion – Les sources de stress communes et “régulables”

La peur de l’inconnu

En gros tu commences quelque chose de nouveau que tu n’as jamais fait et c’est stressant ! Plutôt que de se placer dans la position du “je ne sais pas ce qui m’attend, je ne saurais pas faire” essaye de te placer dans la position du “pleins de nouvelles choses intéressantes m’attendent, peut être que je ne saurais PAS ENCORE faire mais je vais apprendre !”

La peur du jugement

En gros tu crains le regard des autres, que ce soit des collègues, des supérieurs, des clients, … Au lieu de craindre les effets négatifs de tes contacts et confrontations, pourquoi ne pas se focaliser sur tout le bénéfice que tu peux en tirer ? Les relations humaines sont tellement riches et tu pourras apprendre autant des interactions positives que des négatives !

Globalement le point commun c’est qu’on stresse par avance en pensant à une situation qui pourrait “mal” se dérouler. Je stresse par anticipation d’un retour négatif de la part de mes paires, je stresse par anticipation car je ne sais pas ce qui m’attend … Les mots de la fin sont donc “bienveillance” (envers les autres mais surtout envers toi même) et “présent” (vivre dans le présent évite l’anxiété d’anticipation). Tu as le droit d’avoir peur, tu as le droit de ne pas savoir. Le tout est d’être honnête à ce sujet et de réussir à avancer sans rester paralysé(e) par ton stress.

Allez courage, ça va le faire !

Bibliographie

Duijn C, Bok H, Ten Cate O, Kremer W. Qualified but not yet fully competent: perceptions of recent veterinary graduates on their day-one skills. Vet Rec. 2020 Feb 22;186(7):216. doi: 10.1136/vr.105329. Epub 2019 Nov 25. PMID: 31767696. (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31767696/)

Miller M., “En école vétérinaire, j’ai découvert l’ampleur de la culture de la domination entre élèves”,  Le Monde, 25 septembre 2022, (https://www.lemonde.fr/campus/article/2022/09/25/en-ecole-veterinaire-j-ai-decouvert-l-ampleur-de-la-culture-de-la-domination-entre-eleves_6143082_4401467.html)

Drolet M., “Médecine vétérinaire, le stress et l’anxiété montent chez les étudiants”, Le Quotidien Numérique, 26 février 2022, (https://www.lequotidien.com/2022/02/26/medecine-veterinaire–le-stress-et-lanxiete-montent-chez-les-etudiants-1b0dec99a00e025ce0d9f968d673304a)

 

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